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Introduction
Généralité sur les ondes
Cohérence du modèle : deduction des lois quantiques
Nouveau résultat deduit du modèle
Annexe
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Camélia et Keryann
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Généralité sur les ondes

Ces généralités sont à réinvestir dans de nombreux domaines de la physique, en particulier l'acoustique, l'électromagnétisme, l'optique ondulatoire, la physique quantique, l'électrodynamique quantique ...

 

▪ Une onde est une propagation de proche en proche d'un certain état physique créé dans une région de l'espace par une source; pour une onde sonore par exemple, l'état physique est une surpression. Suivant cette définition, un courant alternatif Imcos(wt+j) ou les vibrations d'un pendule ne sont pas des ondes.

▪ Une onde longitudinale est une vibration parallèle à la direction de propagation, comme l'onde sonore.

▪ Une onde transversale est une vibration perpendiculaire à la direction de propagation, comme l'onde électromagnétique.

▪ Une onde plane permet le choix d'un système de coordonnées (x, y, z) dans lequel l'onde ne dépend ni de y, ni de z.

▪ On définit la pulsation w = 2p/T en fonction de la période T et le vecteur d'onde  k = 2p/l en fonction de la longueur d'onde l.

▪ Les ondes progressive et régressive se déplacent sans se déformer.

Une onde plane progressive a pour formule Ymcos(kx-wt) = Ymcos(wt-kx) ou Ymei(kx-wt) º Ymei(wt-kx) en notation complexe.

Une onde plane régressive a pour formule Ymcos(kx+wt) = Ymcos(-kx-wt) ou Ymei(kx+wt) º Yme-i(kx+wt).

▪ Une onde stationnaire s'écrit f( )g(t) en notation réelle.

Il s'agit de la somme d'une onde progressive et d'une onde régressive où une seule réflexion est considérée.

▪ Une onde sphérique  permet le choix d'un système de coordonnées (r, q, j) dans lequel l'onde ne dépend ni de q, ni de j. Le laplacien est donc restreint à sa dépendance à r, et l'équation de d'Alembert devient

1/r 2(rx)/r² - 1/c² ²x/t² = 0. En posant z = rx,  1/r 2(z)/r² - 1/c² ²z/t² = 0 Þ z = f(r-ct)+g(r+ct).

Þ x = 1/r f(r-ct) + 1/r g(r+ct)

 

Célérité

Opérateur d'alembertien  = ²/x² - 1/c² ²/t².

L'équation d'une onde s'écrit y = 0.

Pour une onde progressive y = Ymei(wt-kx), y = -ky + 1/c² w²y = 0 Þ  c = w/k.

Þ c = l/T en m.s-1. Donc c est la célérité de l'onde.

Vitesse de phase

y = Ymei(wt-kx). La phase est le terme f = wt-kx, le plan de phase correspond à f = cst Þ 0 = wdt – kdx Þ dx/dt = w/k = vj qui est la vitesse d'un plan de phase.

Vitesse de groupe

Considérons un paquet de deux ondes : w-dw, k-dk  et  w+dw, k+dk

y = Ymcos([k+dk]x-[w+dw]t) + Ymcos([k-dk]x-[w-dw]t) = 2Ymcos(kx-wt)cos(xdk-tdw).

Le point maximum est obtenu pour cos(xdk-tdw) = 1  Þ  xdk-tdw = 0  "(x,t)  (1)

Þ (x+dx)dk-(t+dt)dw = 0  (2)

(1)+(2) u dxdk-dtdw = 0 Þ dx/dt = dw/dk = vg  vitesse du point maximum.

Nous démontrons ici l'effet Doppler classique, appliquable aux ondes sonores et aussi à la lumière si la source de cette dernière a une vitesse négligeable devant celle de la lumière.

Le signal émis par la source S à l'instant t est perçu par l'observateur O à l'instant t +d/c et

le signal émis par la source S à l'instant t+T0 est perçu par l'observateur O à l'instant t +T0 + (d-vcosaT0)/c si S et O se rapprochent et à l'instant t +T0 + (d+vcosaT0)/c si S et O s'éloignent.

La période d'émission est T0 et la période de réception est T =  t +T0 + (d-vcosaT0)/c –t-d/c = T0(1- vcosa /c)

s'il y a rapprochement et T0(1+ vcosa /c) s'il y a éloignement.

Notons que si v est relativiste, T mesuré par O n'est pas T0 et il faut se référer au chapitre sur la relativité restreinte.

 

 
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